Élerté veut améliorer la prise en charge des malades de l’endométriose
Marie Lechaftois, Laboratoires Élerté : « C’est suite à des échanges avec des praticiens sensibilisés à l’endométriose que nous avons lancé notre projet de solution non hormonale. Le décalage entre l’état des connaissances sur la maladie et la réalité était frappant : la fréquence de la maladie1, ses impacts en termes de souffrances physiques et psychiques, d’altération de la fertilité3, l’errance diagnostique2, le défaut de solutions thérapeutiques, d’accompagnement clinique et psychologique). Suite à ce constat, nous avons voulu accompagner et soutenir de manière proactive les projets de recherche de la Fondation Endométriose pour améliorer la prise en charge des malades. »
Élerté soutient le Comité scientifique de haut niveau de la Fondation
« Nous avons d’abord été séduits par le dynamisme et l’énergie communicatifs dégagés par Valérie Desplanches et Catherine Zavodska. Puis en participant au webinar dédié aux professionnels de santé de premier recours et à la conférence Recherche, nous avons été convaincus par le haut niveau de réflexion des intervenants, la grande variété des pistes de recherche, l’articulation entre les membres scientifiques nationaux et internationaux. Cela nous conforte dans l’idée que la Fondation fait avancer les sujets de manière construite et réfléchie. »
Élerté souhaite appuyer l’approche innovante de la Fondation Endométriose avec les patientes au cœur
« L’approche de la Fondation est pertinente en mettant les patientes au cœur des projets de recherche4. La pluridisciplinarité de la gouvernance permet d’intégrer la complexité de la maladie. Mais aussi d’écouter les attentes et de mutualiser les compétences de chacun : patientes, médecins, chercheurs, industriels. »
Favoriser la sensibilisation à l’endométriose dans les salles d’attente
Les Laboratoires Élerté ont voulu naturellement soutenir financièrement les projets de recherche sur l’endométriose et favoriser la communication sur la maladie en éditant une brochure à destination des patientes et à disposition des médecins et des sage-femmes. La Fondation a apporté sa caution scientifique au contenu du leaflet.
1 10 à 20% des femmes en âge de procréer
2 10 ans en moyenne selon la dernière étude Inserm
3 L’endométriose est la 1ère cause d’hypofertilité. 40% des patientes diagnostiquées sont concernées
4 En septembre 2022, la Fondation lance son Comité de consultation Patientes Aidants (CCPA). L’objectif est de mettre en pratique la notion de Recherche participative, par exemple en promouvant l’implication des patientes dans l’élaboration des protocoles d’études.